analyse d'une fatalité

Publié le par Evariste Galois

Comme j’en avais fait part dans mon entourage, l’action EDF, pour sa première journée de cotation n’a pas eu le succès tant escompté par les myriades de petits porteurs désireux de faire un aller retour « intraday ». Mais voilà avec un peu de BSP, il était facile de prévoir cette première (d’une longue série) journée de bourse morose. Comment aurait t on pu prévoir ?

J’ai remarqué le tapage médiatique pour appâter le petit porteur (qui est toujours celui qui paye dans ce genre d’histoire). Après j’ai écouté un peu ce que disait les institutionnels (ou « Zinzins »), ils disaient tous à mots à peine couvert : «  trop cher, trop peu rentable, trop dangereux ». Bien sûr c’est le propre des professionnels du commerce de dire trop cher d’abord puis de prendre ensuite. A ce détail prêt ! Comprenez, si vous veniez a trouver la poule au œufs d’or, partageriez vous la dite poule ? Non bien sûr que non ! Alors méfiez vous quand on vous propose de prendre place dans une affaire de partage de poule aussi précieuse.

La cupidité est un bien grand mal…

Connaissant un peu le monde de la haute finance je puis vous assurer que les meilleures introductions sont celles qui ne font pas de bruit, qui a entendu parler de Biomérieux ? Personne et pourtant introduite il y a peu et qui a fait ce dont rêve de petit porteur !!

Depuis aujourd’hui pour les petits actionnaires, le slogan « EDF nous vous devons plus que la lumière » prend une tournure très… surprenante, puis qu’en une journée ils viennent de comprendre que les dirigeant d’EDF leurs doivent des comptes !

Publié dans société et paradoxes

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